Quentin : J'ai choisi le Master ADAUR car je suis sensible aux enjeux autour de l'aménagement du territoire en milieu urbain. Cela m'a donc motivé à avoir les clés pour aider les élus et les autres acteurs de l'aménagement à prendre des décisions, qui pourront façonner la société et tendre vers un territoire plus durable.
De plus, le master ADAUR (et le CMI) proposaient une formation autour des sciences de l'information géographique et de ses technologies, ce sont des centres d'intérêts importants pour moi.
Selon moi, le Master ADAUR est également un master qui reste assez généraliste, et ceci me convenait car je préférais ne pas me spécialiser à ce stade-là de ma formation.
Elisa : J'ai choisi le Master ADAUR pour sa formation pluridisciplinaire. Elle permet une bonne maitrise des outils et des techniques d'aménagement du territoire ; ainsi que les différents domaines dans lesquels ces outils et techniques sont nécessaires.
Cette formation pluridisciplinaire ouvre l'esprit à de nombreux domaines et laisse le choix aux étudiant(e)s une spécialisation individuelle dans ce que chacun préfère.
Ce Master permet d'entrevoir les nombreux débouchés du domaine de la géographie grâce aux deux stages professionnalisant à effectuer.
Quentin : Je conseille le master ADAUR (et le CMI) car à la fin de ce cursus, nous avons un profil plutôt singulier en comparaison d'autres diplômés. Pour mes premières expériences professionnelles, ça n'a été que positif : mes supérieurs ont apprécié cette connaissance bi disciplinaire : Aide à la décision/géomatique.
Je trouve que nous sommes plutôt polyvalents et débrouillards, puisqu’on nous a exercé à différents outils et méthodes, ainsi que transmis de nombreuses connaissances au cours de notre cursus. Une fois ces clés en main, c'est à nous d'approfondir quand ça peut être utile.
Elisa : Cette formation apporte une bonne connaissance du monde professionnel grâce aux nombreux intervenants extérieurs qui viennent parler de projets de territoire en cours. Elle m'a également apporté une maitrise des différents outils d'aménagement et des SIG que j'utilise toujours dans mon travail.
Quentin : J’ai un bon souvenir des TD de l’UE méthodes et outils pour l’aide à la décision.
On devait calculer l’accessibilité à différents types d’aménités urbaines en utilisant le réseau de transport en commun et le réseau piéton.
Elisa : "Diagnostic et analyse des territoires" 1ère année de Master, semestre 1. Ce que j'ai particulièrement apprécié était le côté concret de cette UE avec les déplacements sur le terrain et les rendus devant les élu.es du territoire concerné.
Quentin : Je travaille actuellement chez Valeco, développeur et exploitant d'énergies renouvelables, à Montpellier. Je suis géomaticien au Bureau d'Etude interne de l'entreprise.
Elisa : Je suis maintenant Chargée de Développement Territorial photovoltaïque, dans une entreprise du secteur privé. Cette entreprise développe, construit, produit et exploite des parcs éoliens et des centrales photovoltaïques ; en France et à l'international.
Mon travail consiste à chercher des espaces propices au développement de futures centrales photovoltaïques au sol et flottantes, en prenant en compte les enjeux inhérents aux territoires concernés.
"Parce que nous formons nos étudiants à l'ingénierie des territoires, et que le CMI donne un cadre cohérent pour la formation à l'ingénierie en s'appuyant sur des formations universitaires, sur des laboratoires, et sur des partenaires hors du monde académique. Ça se passe dans l'université mais aussi en dehors, ça s'appuie sur l'enseignement classique mais ça multiplie les mises en situation, ça va dans les laboratoires et ça va à l'international : c'est enfin l'ouverture qu'il faut pour nos étudiants."
"Former à la géographie et à l'aménagement, aux sciences de l'information géographique, à leurs méthodologies, en lien avec la recherche et avec les acteurs de ce domaine d'activité... Mais aussi travailler sur l'ouverture d'esprit, le rôle du collectif, des différences des complémentarités, et surtout proposer un cheminement d'études qui ne soit pas que disciplinaire, mais qui forme une vraie préparation à l'ingénierie."
"On doit faire mieux, toujours ! Il reste à mieux faire connaître la formation, à faire comprendre la cohérence entre le parcours de licence et celui de master, à renforcer l'enseignement des langues, à diversifier encore les partenariats, à entrer dans les labels européens... on fera mieux, encore !"