Bonjour à tous, et à Gilles,
Je me lance sur graphAb, et je ne suis pas déçus des premiers résultats obtenus.
Ces premiers traitements ne m'ont pas amené à bien prendre en compte les difficultés de franchissement des trouées des chauves-souris.
Dans les paramètres utilisés, jusqu'ici, je n'ai pas eu l'occasion de renseigner le fait que la probabilités de franchissement d'un élément fragmentant est fonction de sa distance. Par exemple, Pinaud et al. en 2018, ont montré une diminution de franchissement de 50% sur des trouées supérieurs ou égal à 38 mètres. Travaillant ici sur le petit rhino, on s'attends à ce que cette fonction décroissante soit encore plus forte (aucune étude équivalente n'existe à ce jour).
Je sais que cela dépends déjà de la qualité et résolution de la couche d'occupation du sol, et de comment les éléments paysagers fragmentant sont fidèlement repris.
Comme beaucoup, je me suis construit une OCSOL maison, intégrant ce qu'il y a de mieux comme représentation du paysage.
Auriez-vous quelques conseils ou astuces pour que cette données biologiques fortes sur mon modèle biologique puisse être pris en compte dans les modélisations et autres calculs de métriques ?
D'avance merci !
Samuel P.